Détendez-vous ! Vous êtes allongés sur le sable blanc ombragé par quelques palmiers à la silhouette de carte postale. Un vrai petit paradis arti-fiscal.
Les flots font le bruit doux des billets suavement froissés.
Après le salon primev
ère, je me suis dit : pourquoi ne pas aller voir Ambert ?
Située à mi-chemin entre Saint-Étienne et Clermont-Ferrand, c’est une ville méconnue (bien que sous-préfecture du Puy-de-Dôme) qui doit sa survie consonante à la fourme. La fourme d’Ambert, n’est pas ce disque enveloppé de cellophane que l’on trouve dans les grandes surfaces. C’est un fromage tout en hauteur; la ville a même sa mairie en forme de fourme. Enfin, c’est un hasard…
Qu’on se rassure, il ne s’agit pas de politique. Ou plutôt si ! Mais de Politique au sens d’art de l’impossible.
Mais, en tant que suiveur de longue date du débat sur les nanotechnologies, il me tenait à cœur de pouvoir expliciter les malentendus sur les anti-nanotechnologies. Il se trouve que la secrétaire d’état à l’écologie, Chantal Jouanno, tombe à pieds joints dans toutes les idées reçues. Naïveté… ou technique de communication.
Dans la blogosphère écolo, le blog ecolo-info est du genre incontournable.
D’abord parce qu’un billet par jour, c’est une prouesse. Mais surtout parce que c’est toute une équipe qui rédige ce blog. Une équipe constituée de profils divers: du monde marchand, du monde associatif, des indépendants de passage, des philosophes, des pragmatiques, et aussi des geek !
C’est le titre d’un roman de J.K. Huysmans certes. Mais c’est surtout la nouvelle posture de la marque Veja.
Veja, rappelons-le, fabrique des baskets au Brésil avec du coton bio et du caoutchouc « écologique », le tout dans une démarche équitable.
Il paraît que le storytelling est très en vogue dans les grandes entreprises. On raconte des histoires, on fabrique des légendes de toute pièce pour valoriser ou redorer l’image d’une marque, d’un produit d’une personne.
Cet billet est une reproduction de la tribune d’eco-sapiens concernant le CimateGate.J’ai déjà parlé de l’ineptie qu’il y a à donner un prix à ce qui n’a pas de prix : les abeilles, le changement climatique etc.
J’avais déja connaissance d’une étude sur le fait qu’un caribou émettait autant de CO2 que 15 voitures. On voyait déjà se profiler un début de prétexte pour ne pas avoir de scrupules à buter du caribou.