Il paraît que deux choses seulement gouvernent le monde : l’argent et l’amour.
L’amour c’est beau et cela inspire aux hommes et aux femmes de nobles sentiments, et même des odes, des aubades, des sérénades, des romans poignants et des films à budget titaniquesque.
Alors que l’argent est sale, qu’il inspire aux hommes et aux femmes des réflexes reptiliens flattant leur égo, leur soif de pouvoir et stimule leur rivalité.



Comme vous le savez sans doute, 2010, c’était l’année de la biodiversité. Je parle à l’imparfait volontairement. A l’image des grands enjeux de ces dernières années, le rendez-vous biodiversité a suivi inexorablement le même scénario. On s’enthousiasme au début. Et à la fin on repart la tête baissée.
Prenons un peu de recul…
